The following article was originally published in English in November 2015. If anyone were to publish the French translation in France, he would almost certainly be sued. It is archetypal “hate speech” as defined by the dominant regime of political correctness in France. People have been fined heavily for publishing much milder texts than this one.
Readers are strongly encouraged to disseminate the link to their French-speaking contacts (sharing the link carries no legal risk).
En français:
Cet article a été publié pour la première fois en anglais en Novembre 2015. Quiconque oserait publier cette traduction en France serait presque certainement attaqué en justice. Ce texte représente en effet un archétype “d’incitation à la haine” selon la définition imposée par le Politiquement Correct régnant actuellement en France. Plusieurs personnes ont déjà été lourdement condamnées pour des textes bien moins musclés que celui-ci.
Les lecteurs sont fortement encouragés à diffuser le lien menant à cet article à tous leurs contacts francophones (transmettre un lien ne vous fait courir aucun risque juridique).
L’offensive islamique en Europe: un Têt numéro 2?
Texte rédigé par Matthew Bracken, novembre 2015
(Traduit par Nathalie)
Il y a plus de dix ans j’écrivai mon premier roman, intitulé « Enemies Foreign and Domestic [1] ». Ce qui m’a en partie motivé, c’est la volonté d’établir la légitimité de mes qualifications à pronostiquer les tendances sous-jacentes dans les domaines sociaux, politiques et militaires. Je n’aimai pas la direction que prenaient les États-Unis, et je voulais avertir le plus possible de lecteurs sur la nature de certains dangers que je voyai se profiler à l’horizon. En cette fin d’année 2015, j’espère que le succès de mes prédictions passées encouragera ceux-ci à prêter attention à l’essai qui suit.
Alors que le nouvel an approche à grands pas, nous assistons aux préludes du dernier round d’une lutte titanesque entre trois grands acteurs. Trois grandes forces à l’œuvre dans nos sociétés vont droit à l’affrontement en 2016 et leur confrontation sera comparable, en termes historiques, aux Première et Seconde Guerres Mondiales.
Deux de ces grandes forces qui travaillent nos sociétés ont formé une coalition de fait contre la troisième. Elles ont forgé une entente tacite dont le but est l’annihilation totale de la force la plus faible tant que leurs puissances combinées sont assez puissantes pour le faire. Une de ces forces agissantes est prête à partager le contrôle d’une grande partie du monde avec l’autre force à l’œuvre au sein de nos sociétés. Une de ces forces n’a qu’un seul but : la domination totale de la planète entière. Quelles sont donc ces trois forces que nous venons de décrire ? Ce sont l’islam, le socialisme internationaliste et le nationalisme.
Permettez-moi d’expliquer les aspects les plus significatifs de chacun de ces acteurs, ainsi que la façon dont ils participent du cataclysme à venir en 2016.
1. L’islam
L’islam est similaire à un virus auto-réplicant qui aurait infecté un super-ordinateur; c’est une hydre monstrueuse, un juggernaut irrésistible conçu pour la conquête du monde entier. L’islam est pratiquement impossible à éradiquer, car il n’a ni cerveau central, ni poste de commandement; tel une étoile de mer, si on lui coupe un membre un autre pousse pour prendre sa place. Le nom des chefs musulmans ainsi que les noms des groupes islamistes ne sont que transitoires et n’ont en fin de compte n’ont que peu d’importance : Osama Ben Laden et Al Qaïda ont été remplacés par Al-Baghdadi et l’État islamique, qui eux aussi disparaîtront de la scène et seront remplacés par d’autres. Alors que les dirigeants et régimes musulmans vont et viennent, l’islam lui-même est demeuré en état de guerre constante avec le monde non-musulman depuis ses tout débuts, il y a 1400 ans.
L’islam ne reconnaît pas les frontières des nations laïques. Pour tout musulman dévot, le monde est divisé en deux : il y a le Dar al-Islam, c’est-à-dire la Maison de l’islam, là où vivent les croyants, et il y a le Dar al-Harb, la Maison de la guerre, que l’on doit soumettre à la loi islamique par tous les moyens possibles, y compris les plus violents, comme le djihad (guerre sainte). L’expansion de l’islam a parfois été arrêtée pendant de longues périodes. Cependant l’islam est la plupart du temps en pleine offensive et s’empare alors de nouveaux territoires. Une fois conquis, ces territoires sont rarement repris, à l’exception notable de l’Espagne.
Le monde musulman ne produit pratiquement aucun livre, ni aucunes nouvelles inventions. A moins d’avoir un sous-sol riche en pétrole et de bénéficier des revenus de l’or noir, la plupart des pays islamiques sont pauvres et arriérés. Quelle est donc la source de cette puissance qui alimente l’expansion constante, ou peu s’en faut, de l’islam depuis quatorze siècles ? Le moteur et la batterie de l’islam sont le Coran et les hadith ou paroles de Mahomet. Un mahdi messianique, un caliphe ou encore un ayatollah doté de suffisamment de charisme peut faire s’accélérer le rythme d’expansion de l’islam, mais les individus seuls ne jouent pas de rôles cruciaux.
Certains chefs d’état laïques et musulmans de pure forme, comme Saddam Hussein ou encore Mouammar Kadhafi, peuvent contenir l’islamisme pendant un temps en utilisant des méthodes brutales; mais les hommes forts sont souvent assassinés ou déposés et ne sont de toute façon pas immortels. Une fois les dictateurs laïques disparus, les mollahs fanatiques ont toute licence pour ranimer l’ardeur de leurs zélotes et instaurer un régime politique d’islamisme radical sous le régime de la charia, comme le leur ordonne le Coran.
Ce schéma de théocrates fanatiques qui succèdent à des autocrates laïques est récurrent depuis au moins un millénaire. Ne vous laissez pas endormir par la présence d’un moderniste comme le Roi Abdallah en Jordanie : pour le vrai croyant, tout roi ou homme fort à la tête de l’état n’est jamais qu’à la merci d’une balle de fusil ou d’une grenade qui le renverserait et mettrait à sa place un autre fanatique religieux.
Cette virulence du plan que Mahomet a établi au 7ème siècle et dont le but final est la subjugation de la planète entière signifie qu’à tout moment et en tout endroit le virus peut se réactiver de façon violente. L’islam est comme un feu de brousse ou une infection causée par la teigne : tout est mort et stérile à l’intérieur du cercle mais le périmètre s’enflamme de façon récurrente sur les marches frontières des sociétés non-islamiques qui le bordent et dont il se nourrit de manière parasitique. Quelle est donc la cause de ce fanatisme unique dans l’histoire, fanatisme qui anime des peuples et des nations entières qui semblent pourtant dénués d’énergie et de nouvelles idées dans d’autres domaines ?
Ce qui anime leur zèle et leur fanatisme ce sont les écrits du Coran et des hadith. Une fois retiré les oripeaux religieux, les textes islamiques sanctionnent le viol, les pillages, les razzia ayant pour but de capturer et de réduire en esclavage les Infidèles, et s’ils sont tués, ces mêmes écrits promettent aux djihadistes une orgie perpétuelle avec soixante-douze jeunes esclaves vierges et nubiles dans le paradis des musulmans imaginé par Mahomet, un paradis diabolique, répugnant et perverti. Contrairement aux Bibles juive et chrétienne, le Coran et les hadith font appel, non à la part angélique de l’homme mais aux aspects les plus vils et immoraux de celui-ci. (Il est en ce sens significatif que Jésus et Moïse aient grimpé aux sommets de montagnes pour parler à Dieu alors que Mahomet communiquait avec le sien tout au fond d’une grotte peuplée de chauve-souris).
Toute réforme réelle et permanente de l’islam est impossible, car toute nouvelle génération de fanatiques, brandissant leur Coran et hadith non-expurgés, déclarera que les réformateurs sont des apostats et les assassinera. Dans l’islam les fanatiques qui brandissent d’une main leur Coran inchangé et inchangeable et de l’autre un sabre, se tiennent toujours prêts à s’emparer du pouvoir et à exterminer leur ennemis.
Ce danger latent engendre une peur chez tous les non-musulmans et force la plupart d’entre eux à se montrer circonspects dans leur commerce avec les mahométans, de peur de se retrouver un jour sans tête. Cette crainte, soigneusement entretenue, est l’arme utilisée pour intimider tous ceux qui voudrait faire front et résister à la volonté de domination de l’islam. L’immuable Coran est la source constante des sanglantes conquêtes islamiques. L’islam radical est le pur islam, l’islam du Coran, l’islam véritable. Quiconque ne comprend pas cette âpre réalité, témoigne de sa coupable et périlleuse ignorance des 1400 dernières années de l’histoire humaine.
2. Le socialisme internationaliste
Le second grand acteur ou force sociétale qui travaille nos sociétés est le socialisme internationaliste. On peut en trouver une description sous les rubriques suivantes : gauchisme , étatisme, gauchisme culturel [2] et communisme. Tous ces mouvements font partie de la mouvance du socialisme internationaliste. Je pense que l’on peut retrouver l’origine de ces gauchistes culturels au moins dès le 18ème siècle avec les proto-Jacobins, club d’humanistes laïques, mondialistes avant la lettre et alignés avec la Franc-maçonnerie.
Ces proto-Jacobins quittèrent l’Allemagne pour la France avec dans leurs poches un projet cohérent et élaboré dans ses moindres détails dont l’objectif était de provoquer une explosion sociale qui leur permettrait de s’emparer du pouvoir. Le projet de déstabilisation élaboré par les Jacobins devint le modèle de nombreuses et sanglantes « révolutions populaires ». Après la Révolution Française vinrent ces hommes aux noms connus de tous : Marx, Engels, Lénine, Staline et Mao. Mais on connaît moins la Société des Fabiens [3], ce cercle de socialistes anglais créé au tout début du 20ème siècle et toujours actif de nos jours, ou encore Antonio Gramsci, le théoricien marxiste italien, ou encore l’École de Francfort, ce groupe d’intellectuels allemands qui se transportèrent outre-Atlantique, et avec eux leurs théorie socialistes internationalistes, et s’installèrent à l’université de Columbia.
À la différence de Vladimir Lénine et des communistes, ils avaient compris qu’ils n’atteindraient les buts du socialisme internationaliste que s’ils détruisaient le puissant édifice de la Civilisation Occidentale en le minant de l’intérieur et en le sabotant, jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une coquille vide. En fin de compte, les forces du socialisme internationaliste qui agirent dans la clandestinité en s’enfouissant profondément au cœur de la matrice de l’Occident l’endommagèrent de façon bien plus permanente que ne l’avait jamais fait le communisme de guerre de Lénine et Mao imposé par la force brute des armes.
Au cours du siècle qui vient de s’écouler, et tandis que s’effondrait le communisme en Union Soviétique, les socialistes du club des Fabiens s’avéraient de plus en plus habiles à empoisonner les racines mêmes de nos identités nationales, culturelles et ethniques, laissant les héritiers de la Civilisation Occidentale désorganisés et démoralisés, sans aucun système de croyance central auquel se rallier. Pourquoi cette démoralisation et cet abêtissement délibérés ? Les socialistes internationalistes pensent depuis au moins la Révolution Française qu’il est de leur devoir d’imposer un ordre féodal avec les plus puissants donnant des ordres aux « masses stupides », et d’ériger un nouvel ordre mondial dirigé par des experts auto-proclamés choisis parmi des élites éduquées selon leurs normes et ceci pour le bien des masses ignares, tout en continuant à s’emplir les poches et à jouir de la puissance et des richesses du style de vie des élites.
Il peut sembler paradoxal que les plus grosses institutions bancaires et les grandes puissances d’affaires aient si profondément investi ce nouvel ordre mondial du socialisme internationaliste. Cependant tout devient parfaitement clair une fois dénoué l’écheveau. De nos jours, les banques internationales et les grosses sociétés multinationales sont devenues de puissants acteurs sur la scène mondiale et sont maintenant parties prenantes dans chaque nouveau traité de commerce international. De fait, les avocats spécialistes en droit des sociétés écrivent l’immense majorité des pages de ces traités commerciaux longs de plusieurs milliers de pages, traités dont le nombre ne cesse d’augmenter. Ces accords commerciaux sont en train d’avoir force de lois internationales et prennent même le dessus sur la Constitution des États-Unis d’Amérique.
Continue reading →