L’offensive islamique en Europe: un Têt numéro 2?

The following article was originally published in English in November 2015. If anyone were to publish the French translation in France, he would almost certainly be sued. It is archetypal “hate speech” as defined by the dominant regime of political correctness in France. People have been fined heavily for publishing much milder texts than this one.

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En français:

Cet article a été publié pour la première fois en anglais en Novembre 2015. Quiconque oserait publier cette traduction en France serait presque certainement attaqué en justice. Ce texte représente en effet un archétype “d’incitation à la haine” selon la définition imposée par le Politiquement Correct régnant actuellement en France. Plusieurs personnes ont déjà été lourdement condamnées pour des textes bien moins musclés que celui-ci.

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L’offensive islamique en Europe: un Têt numéro 2?

Texte rédigé par Matthew Bracken, novembre 2015

(Traduit par Nathalie)

Il y a plus de dix ans j’écrivai mon premier roman, intitulé « Enemies Foreign and Domestic [1] ». Ce qui m’a en partie motivé, c’est la volonté d’établir la légitimité de mes qualifications à pronostiquer les tendances sous-jacentes dans les domaines sociaux, politiques et militaires. Je n’aimai pas la direction que prenaient les États-Unis, et je voulais avertir le plus possible de lecteurs sur la nature de certains dangers que je voyai se profiler à l’horizon. En cette fin d’année 2015, j’espère que le succès de mes prédictions passées encouragera ceux-ci à prêter attention à l’essai qui suit.

Alors que le nouvel an approche à grands pas, nous assistons aux préludes du dernier round d’une lutte titanesque entre trois grands acteurs. Trois grandes forces à l’œuvre dans nos sociétés vont droit à l’affrontement en 2016 et leur confrontation sera comparable, en termes historiques, aux Première et Seconde Guerres Mondiales.

Deux de ces grandes forces qui travaillent nos sociétés ont formé une coalition de fait contre la troisième. Elles ont forgé une entente tacite dont le but est l’annihilation totale de la force la plus faible tant que leurs puissances combinées sont assez puissantes pour le faire. Une de ces forces agissantes est prête à partager le contrôle d’une grande partie du monde avec l’autre force à l’œuvre au sein de nos sociétés. Une de ces forces n’a qu’un seul but : la domination totale de la planète entière. Quelles sont donc ces trois forces que nous venons de décrire ? Ce sont l’islam, le socialisme internationaliste et le nationalisme.

Permettez-moi d’expliquer les aspects les plus significatifs de chacun de ces acteurs, ainsi que la façon dont ils participent du cataclysme à venir en 2016.

1. L’islam

L’islam est similaire à un virus auto-réplicant qui aurait infecté un super-ordinateur; c’est une hydre monstrueuse, un juggernaut irrésistible conçu pour la conquête du monde entier. L’islam est pratiquement impossible à éradiquer, car il n’a ni cerveau central, ni poste de commandement; tel une étoile de mer, si on lui coupe un membre un autre pousse pour prendre sa place. Le nom des chefs musulmans ainsi que les noms des groupes islamistes ne sont que transitoires et n’ont en fin de compte n’ont que peu d’importance : Osama Ben Laden et Al Qaïda ont été remplacés par Al-Baghdadi et l’État islamique, qui eux aussi disparaîtront de la scène et seront remplacés par d’autres. Alors que les dirigeants et régimes musulmans vont et viennent, l’islam lui-même est demeuré en état de guerre constante avec le monde non-musulman depuis ses tout débuts, il y a 1400 ans.

L’islam ne reconnaît pas les frontières des nations laïques. Pour tout musulman dévot, le monde est divisé en deux : il y a le Dar al-Islam, c’est-à-dire la Maison de l’islam, là où vivent les croyants, et il y a le Dar al-Harb, la Maison de la guerre, que l’on doit soumettre à la loi islamique par tous les moyens possibles, y compris les plus violents, comme le djihad (guerre sainte). L’expansion de l’islam a parfois été arrêtée pendant de longues périodes. Cependant l’islam est la plupart du temps en pleine offensive et s’empare alors de nouveaux territoires. Une fois conquis, ces territoires sont rarement repris, à l’exception notable de l’Espagne.

Le monde musulman ne produit pratiquement aucun livre, ni aucunes nouvelles inventions. A moins d’avoir un sous-sol riche en pétrole et de bénéficier des revenus de l’or noir, la plupart des pays islamiques sont pauvres et arriérés. Quelle est donc la source de cette puissance qui alimente l’expansion constante, ou peu s’en faut, de l’islam depuis quatorze siècles ? Le moteur et la batterie de l’islam sont le Coran et les hadith ou paroles de Mahomet. Un mahdi messianique, un caliphe ou encore un ayatollah doté de suffisamment de charisme peut faire s’accélérer le rythme d’expansion de l’islam, mais les individus seuls ne jouent pas de rôles cruciaux.

Certains chefs d’état laïques et musulmans de pure forme, comme Saddam Hussein ou encore Mouammar Kadhafi, peuvent contenir l’islamisme pendant un temps en utilisant des méthodes brutales; mais les hommes forts sont souvent assassinés ou déposés et ne sont de toute façon pas immortels. Une fois les dictateurs laïques disparus, les mollahs fanatiques ont toute licence pour ranimer l’ardeur de leurs zélotes et instaurer un régime politique d’islamisme radical sous le régime de la charia, comme le leur ordonne le Coran.

Ce schéma de théocrates fanatiques qui succèdent à des autocrates laïques est récurrent depuis au moins un millénaire. Ne vous laissez pas endormir par la présence d’un moderniste comme le Roi Abdallah en Jordanie : pour le vrai croyant, tout roi ou homme fort à la tête de l’état n’est jamais qu’à la merci d’une balle de fusil ou d’une grenade qui le renverserait et mettrait à sa place un autre fanatique religieux.

Cette virulence du plan que Mahomet a établi au 7ème siècle et dont le but final est la subjugation de la planète entière signifie qu’à tout moment et en tout endroit le virus peut se réactiver de façon violente. L’islam est comme un feu de brousse ou une infection causée par la teigne : tout est mort et stérile à l’intérieur du cercle mais le périmètre s’enflamme de façon récurrente sur les marches frontières des sociétés non-islamiques qui le bordent et dont il se nourrit de manière parasitique. Quelle est donc la cause de ce fanatisme unique dans l’histoire, fanatisme qui anime des peuples et des nations entières qui semblent pourtant dénués d’énergie et de nouvelles idées dans d’autres domaines ?

Ce qui anime leur zèle et leur fanatisme ce sont les écrits du Coran et des hadith. Une fois retiré les oripeaux religieux, les textes islamiques sanctionnent le viol, les pillages, les razzia ayant pour but de capturer et de réduire en esclavage les Infidèles, et s’ils sont tués, ces mêmes écrits promettent aux djihadistes une orgie perpétuelle avec soixante-douze jeunes esclaves vierges et nubiles dans le paradis des musulmans imaginé par Mahomet, un paradis diabolique, répugnant et perverti. Contrairement aux Bibles juive et chrétienne, le Coran et les hadith font appel, non à la part angélique de l’homme mais aux aspects les plus vils et immoraux de celui-ci. (Il est en ce sens significatif que Jésus et Moïse aient grimpé aux sommets de montagnes pour parler à Dieu alors que Mahomet communiquait avec le sien tout au fond d’une grotte peuplée de chauve-souris).

Toute réforme réelle et permanente de l’islam est impossible, car toute nouvelle génération de fanatiques, brandissant leur Coran et hadith non-expurgés, déclarera que les réformateurs sont des apostats et les assassinera. Dans l’islam les fanatiques qui brandissent d’une main leur Coran inchangé et inchangeable et de l’autre un sabre, se tiennent toujours prêts à s’emparer du pouvoir et à exterminer leur ennemis.

Ce danger latent engendre une peur chez tous les non-musulmans et force la plupart d’entre eux à se montrer circonspects dans leur commerce avec les mahométans, de peur de se retrouver un jour sans tête. Cette crainte, soigneusement entretenue, est l’arme utilisée pour intimider tous ceux qui voudrait faire front et résister à la volonté de domination de l’islam. L’immuable Coran est la source constante des sanglantes conquêtes islamiques. L’islam radical est le pur islam, l’islam du Coran, l’islam véritable. Quiconque ne comprend pas cette âpre réalité, témoigne de sa coupable et périlleuse ignorance des 1400 dernières années de l’histoire humaine.

2. Le socialisme internationaliste

Le second grand acteur ou force sociétale qui travaille nos sociétés est le socialisme internationaliste. On peut en trouver une description sous les rubriques suivantes : gauchisme , étatisme, gauchisme culturel [2] et communisme. Tous ces mouvements font partie de la mouvance du socialisme internationaliste. Je pense que l’on peut retrouver l’origine de ces gauchistes culturels au moins dès le 18ème siècle avec les proto-Jacobins, club d’humanistes laïques, mondialistes avant la lettre et alignés avec la Franc-maçonnerie.

Ces proto-Jacobins quittèrent l’Allemagne pour la France avec dans leurs poches un projet cohérent et élaboré dans ses moindres détails dont l’objectif était de provoquer une explosion sociale qui leur permettrait de s’emparer du pouvoir. Le projet de déstabilisation élaboré par les Jacobins devint le modèle de nombreuses et sanglantes « révolutions populaires ». Après la Révolution Française vinrent ces hommes aux noms connus de tous : Marx, Engels, Lénine, Staline et Mao. Mais on connaît moins la Société des Fabiens [3], ce cercle de socialistes anglais créé au tout début du 20ème siècle et toujours actif de nos jours, ou encore Antonio Gramsci, le théoricien marxiste italien, ou encore l’École de Francfort, ce groupe d’intellectuels allemands qui se transportèrent outre-Atlantique, et avec eux leurs théorie socialistes internationalistes, et s’installèrent à l’université de Columbia.

À la différence de Vladimir Lénine et des communistes, ils avaient compris qu’ils n’atteindraient les buts du socialisme internationaliste que s’ils détruisaient le puissant édifice de la Civilisation Occidentale en le minant de l’intérieur et en le sabotant, jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une coquille vide. En fin de compte, les forces du socialisme internationaliste qui agirent dans la clandestinité en s’enfouissant profondément au cœur de la matrice de l’Occident l’endommagèrent de façon bien plus permanente que ne l’avait jamais fait le communisme de guerre de Lénine et Mao imposé par la force brute des armes.

Au cours du siècle qui vient de s’écouler, et tandis que s’effondrait le communisme en Union Soviétique, les socialistes du club des Fabiens s’avéraient de plus en plus habiles à empoisonner les racines mêmes de nos identités nationales, culturelles et ethniques, laissant les héritiers de la Civilisation Occidentale désorganisés et démoralisés, sans aucun système de croyance central auquel se rallier. Pourquoi cette démoralisation et cet abêtissement délibérés ? Les socialistes internationalistes pensent depuis au moins la Révolution Française qu’il est de leur devoir d’imposer un ordre féodal avec les plus puissants donnant des ordres aux « masses stupides », et d’ériger un nouvel ordre mondial dirigé par des experts auto-proclamés choisis parmi des élites éduquées selon leurs normes et ceci pour le bien des masses ignares, tout en continuant à s’emplir les poches et à jouir de la puissance et des richesses du style de vie des élites.

Il peut sembler paradoxal que les plus grosses institutions bancaires et les grandes puissances d’affaires aient si profondément investi ce nouvel ordre mondial du socialisme internationaliste. Cependant tout devient parfaitement clair une fois dénoué l’écheveau. De nos jours, les banques internationales et les grosses sociétés multinationales sont devenues de puissants acteurs sur la scène mondiale et sont maintenant parties prenantes dans chaque nouveau traité de commerce international. De fait, les avocats spécialistes en droit des sociétés écrivent l’immense majorité des pages de ces traités commerciaux longs de plusieurs milliers de pages, traités dont le nombre ne cesse d’augmenter. Ces accords commerciaux sont en train d’avoir force de lois internationales et prennent même le dessus sur la Constitution des États-Unis d’Amérique.

Depuis des siècles, les banquiers millionaires (et de nos jours milliardaires), tels les Rothschilds en Europe, les Warburgs sur les deux continents, et en Amérique les Morgans et Rockefellers, en passant par l’émigré hongrois George Soros, ont écrit leurs propres lois et négocié des accords avec les politiques. De nos jours, ils créent littéralement des milliards de nouveaux dollars et d’euros tous les jours, comme des magiciens qui sortent des lapins de leur chapeau, et les transfèrent à leurs acolytes. Aux États-Unis la création de la Réserve Fédérale — un banque centrale gérée par et pour une cabale d’intérêts bancaires et financiers privés en est un exemple flagrant.

Aux États-Unis encore, les dirigeants des méga-multinationales et fonds d’investissements mondiaux font de très larges dons à la fois aux partis Démocrates et Républicains, s’assurant ainsi un traitement favorable dans une époque caractérisée par un capitalisme de connivence dont les rênes sont tenus pas de grosses sociétés multinationales. Les choses ne sont guère différentes dans les autres pays. Ces capitalistes-clientélistes post-nationaux ne reconnaissent aucune frontière souveraine et estiment que la notion de patriotisme n’est qu’un anachronisme ridicule.

Toujours aux États-Unis, des traitres sans-frontiéristes soudoyent les politiciens pour que ceux-ci fassent passer des lois permettant l’importation d’un nombre illimité de travailleurs immigrés détenteurs de visa H-1, dans le but de remplacer les Américains à leur travail et à leur bureau. Et ces traitres n’en ont cure. Les membres de l’élite des sociétés multinationales, traitres eux aussi, appellent ça l’ « agilité» , c.-à-d. le déplacement des prolétaires, paysans et pauvres fongibles vers de nouvelles parties du monde où on pourra les employer en les payant le moins possible tout en tirant les plus de profits possibles. Les travailleurs américains des classes moyennes, ainsi que leurs familles, ne sont que dommages collatéraux. Et là encore, la situation en Europe n’est guère différente.

Ces élites sans-frontiéristes et richissimes, appartenant à la haute finance et aux multinationales, et qui de façon paradoxale dirigent les forces qui pilotent le socialisme internationaliste, ont les moyens de garantir succès après succès d’une myriade de façons différentes. Leur richesse et leurs connexions au sein du monde politique leur permettent de repérer les futures stars de la politique susceptibles de coopérer avec eux : une fois repérés, ceux-ci sont poussés vers les « bonnes » universités, fondations, conseils, agences gouvernementales et poste dans les médias. Ainsi, quand on voit un « expert » pontifiant sur les plateaux de télévision et que ses références indiquent qu’il est membre du « Council on Foreign Relations », un cercle d’influence entièrement privé, et qu’il a écrit des articles pour leur revue « Foreign Affairs [4]», on peut se dire avec certitude qu’il est promis à de hautes positions et que toutes les portes s’ouvriront comme par magie devant lui.

Quant au 4ème pouvoir , les mass médias mondialisés ont été presqu’entièrement subvertis; ils suivent les scripts qui leur sont donnés et obéissent aux donneurs d’ordres qui se tiennent dans les coulisses: tout est orchestré depuis des dizaines d’années par ces élites richissimes qui tirent les ficelles de mille manières grâce aux bakchichs, aux emplois fictifs, et aux pots-de-vin déguisés en offres d’achats d’actions à prix d’amis et autres ventes de terrain entre individus. Les personalités de la presse et de la télévision passent aisément de leurs travail au sein des médias à des rôles de conseillers politiques de premier plan et à des postes au sein du conseil d’administration des grandes sociétés, ajoutant des millions à leur portfolio à chaque changement de poste opportun. Même les amiraux et les généraux en retraite se laissent acheter et se roulent dans cette fange corrompue. Il n’est donc pas surprenant que tant de politiciens quittent Washington ou Bruxelles avec les poches remplies à millions. Tout comme personne ne devrait être surpris d’apprendre que Walter Cronkite, présentateur vedette du journal télévisé sur CBS pendant de longues années et considéré comme « l’homme auquel les Américains font le plus confiance » a été toute sa vie durant un des membres dirigeants de la « World Federalist Association » une association visant à l’instauration d’une gouvernance mondiale, un aveu qu’il fit avec orgueil devant les caméras une fois qu’il fut parti en retraite.

3. Nationalisme

Les nationalistes constituent probablement la majorité de la population du monde non-islamique, bien qu’il soit difficile de se faire une idée exacte des chiffres en question. Il est tellement facile de truquer les sondages d’opinion que la plupart d’entre eux sont au mieux inutiles, et constituent un moyen de propagande et de dezinformatsiya [5] aux mains de ceux qui les achètent.

Les nationalistes se considèrent comme étant en tout premier lieu les citoyens loyaux d’une nation souveraine. Gardons néanmoins à l’esprit le fait que le concept même de Nation est relativement récent. Le découpage de la planète en états-nations distincts est un phénomène qui ne s’amorça qu’au 17ème siècle, et que l’on fait normalement débuter au Traité de Westphalie en 1648, à la fin de le Guerre de Trente Ans. Depuis, le monde a été divisé par des frontières nationales qui coïncidaient souvent, mais pas toujours, avec une langue, une culture et un groupe ethnique nationaux.

Cette division en nations a tout particulièrement bien marché sur le continent européen. Une moralité, une éthique et des valeurs judéo-chrétiennes communes ont permis l’émergence des notions d’égalité des droits, de justice et d’équité, ce qui au fil du temps a conduit à l’abolition de l’esclavage, au droit des femmes et aux droits des minorités raciales. Durant cette période où le potentiel humain a pris son envol, les Américains et les Européens ont connu la plus grande augmentation du niveau de vie à laquelle on ait jamais assisté dans l’histoire de l’humanité. De grandes et belles villes, des universités et des musées remarquables furent construits aux États-Unis et en Europe. Les empires européens, riches, homogènes, pleins d’assurance et hautement organisés prirent leur essor et conquirent de vastes colonies qu’ils intégrèrent à leur empire ou eurent sous leur protectorat. L’Amérique pris le relais lorsque l’ère coloniale vint à son terme après la Seconde Guerre Mondiale.

L’émergence des nations n’a pas toujours eu une fin heureuse: au 20ème siècle, le communisme s’empara du pouvoir dans un certain nombre de pays , notamment en Russie, qui prit le nom d’Union Soviétique, et en Chine. Mais ces succès ne furent pas suivis d’une irrésistible avalanche de révolutions à travers le monde, comme l’avait prédit Lénine, Staline et Mao. Par contre, la lente et laborieuse « Longue Marche à travers les institutions » des traitres socialistes de la Société des Fabiens, dans laquelle on peut inclure l’École de Francfort, Gramsci et bien d’autres, s’est révélée être bien plus efficace sur le long terme.

Arrivé au 21ème siècle, les traitres du gauchisme culturel, profondément implantés au sein du système, ont réussi à subvertir la presque totalité du monde universitaire, inculquant à des générations entières d’étudiants un mépris de soi confinant à une haine de leurs propres identités nationales et ethniques. La plupart des médias ont eux aussi été noyautés, ce qui fait que les médias de masse ne font que propager la vision du monde politiquement correcte du socialisme internationaliste, une vision du monde que l’on aura auparavant injectée puis fait incuber dans les écoles et universités.

En cette ère de l’endoctrinement des masses par la propagande des gauchistes culturels, le Christianisme a été remisé au rôle de force sociale rétrograde, au mieux obsolète dans un monde laïque et moderne et au pire un véritable danger pour le genre humain. En cette époque où règne la religion laïque et politiquement correcte de l’humanisme, l’identité culturelle et ethnique des Européens est devenue le nouveau péché originel et la marque de Caïn. La peau blanche des Européens est devenue synonyme du privilège dont jouissent les blancs et s’est vue transformée en objet de honte.

Dorénavant émancipées, les Américaines et les Européennes se tournèrent vers de nouvelles aspirations qui au fil du temps inclurent de faire de moins en moins d’enfants, et c’est ainsi que s’amorça l’effondrement démographique de l’Ouest. Hommes et femmes sont anesthésiés par des divertissements diffusés 24 heures sur 24 par des écrans haute définition et des écouteurs stéréophoniques pratiquement branchés sur leur cerveau, ce qui les met dans un état de stupéfaction et d’apathie permanent. Ce raz-de-marée incessant de divertissements en tout genre s’est révélé être un conduit idéal pour l’endoctrinement des masses avec les idées et valeurs du politiquement-correct. Démoralisés et distraits, la majorité des Américains et des Européens paraissent de nos jours incapables de se battre pour ce qui reste de leurs identités culturelles et nationales, et pire encore la plupart ne semble même pas disposés à le faire. Les « petits soldats du progressisme » [6], complètement indoctrinés par la propagande, et dernière des incarnations des « idiots utiles de Lénine » précipitent le trépas de l’Occident, dans l’inconscience béate de ce qui en prendra la place.

Ainsi mis au tapis, ce qui reste des nationalistes américains et européens constitue la plus faible des forces en présence dans nos sociétés, ainsi que la plus menacée. En Europe, des patriotes tels que Geert Wilders aux Pays-Bas, Björn Höcke en Allemagne, Viktor Orbán en Hongrie, Nigel Farage au Royaume-Uni et Marine Le Pen en France mènent un combat d’arrière-garde pour sauvegarder leurs identités ethniques, nationales et culturelles, tout en étant constamment vilipendés par une presse mensongère aux ordres des socialistes, et qui les traite de racistes, Nazis ou xénophobes.

4. Une Troisième Guerre Mondiale

À l’orée de 2016, je crois que l’Europe s’apprête à devenir le théâtre principal d’une troisième guerre mondiale. Comme un élastique trop longtemps tendu qui soudain lâche, une conflagration sur le continent européen aurait comme possible corollaire l’embrasement des conflits larvés, de l’Ukraine au Golfe Persique, et ceci à cause de jeux d’alliances croisées (l’Otan, y compris la Turquie, contre la Russie) et de la division sunnisme /chiisme (Iran contre Arabie Séoudite, conflit importé en Europe).

Oui, je parle bien d’une Troisième Guerre Mondiale. Mais pourquoi maintenant ?

Une des doctrines stratégiques récurrentes des socialistes internationalistes partisans des frontières ouvertes, doctrine que l’on trouve déjà énoncée chez les Jacobins, et même avant, est celle-ci : « du chaos naît l’ordre ». Et voici ce que répondit Lénine, quand on lui annonça que des émeutes éclataient dans les villes russes car le peuple n’avait plus de pain : « Plus ça empire, mieux c’est ». Aucune « Révolution Populaire » (dont les instigateurs et les dirigeants ne sont autres que les élites de la classe des traitres) ne s’est jamais produite dans un pays heureux où les gens avaient le ventre plein.

Les grandes banques internationales et les élites des multinationales sont tout aussi disposées à aider financièrement les révolutions qu’elles le sont à financer les guerres. Elles ont régulièrement offert prêts et armements aux différents protagonistes des conflits européens, se remplissant grassement les poches , et peu leur importe le nombre de morts ou qui peut bien gagner la guerre. Elles ont aussi financé des révolutions, afin d’assurer que les conditions soient réunies pour qu’elles puissent engranger leurs futurs bénéfices en s’alliant dès le départ avec les nouveaux régimes.

Ainsi, les banques américaines ont financé les efforts de Lénine et de Trotsky avant et pendant leur retour en Russie. Une fois que l’on a compris les vastes machinations à l’œuvre dans les coulisses, manipulant les forces dirigeant le socialisme internationaliste, ce paradoxe apparent s’évanouit. Ce qui compte c’est le contrôle et l’endoctrinement des stupides prolétaires afin qu’ils adoptent le comportement de troupeau bêlant incapable de penser qui est la condition préalable à l’avènement d’un gouvernement socialiste dirigé par un petit nombre d’élus. Et tout au sommet de cette ruche de travailleurs prolétaires, la nomenklatura au pouvoir vit comme des dictateurs communistes, ou comme les Rockefellers, ou les deux à la fois, et ses membres se rencontrent à Davos, Aspen, Jackson Hole ou bien ailleurs et dégustent champagne et caviar tout en devisant de leurs prochains accords commerciaux internationaux, qu’ils concocteront entre eux.

Et maintenant cette nomenklatura qui tire les ficelles a allumé la mèche sous la vaste poudrière sociale qui est sur le point d’exploser en Europe, tout comme elle l’avait fait en Russie en 1917. De quelle façon ? En ouvrant tout grand les frontières du continent européen. Le côté islamiste de mon trio de forces représente une menace constante , toujours prête à pousser, et les musulmans n’attendent qu’une chose, c’est remplir tout vide démographique. L’insatiable appétit de conquête des islamistes est absolument indéniable. Le taux de natalité est de 1.5 parmi les Européennes et ils voient des millions de femmes célibataires ou mariées à des hommes qui ne sont bons à rien, et ces femmes vont bientôt se trouver nez à nez avec de vrais hommes d’obédience musulmane. La politique actuelle d’ouverture des frontières, mise en œuvre par les socialistes internationalistes européens, a été pensée et élaborée dans le but de noyer l’Europe sous un raz-de-marée composé de centaines de milliers d’envahisseurs et combattants islamistes prêts à imposer leurs mœurs culturelles et religieuses de manière agressive. Les traitres qui composent l’élite européenne savent pertinemment ce qu’ils sont en train de faire et les conséquences de ce qu’ils ont mis en branle. Ils savent ce qui va se passer. Mais pour quelles raisons le font-ils maintenant ?

L’économiste du 20ème siècle Ludwig Von Mises, membre de l’école autrichienne, écrivit : « il n’y a aucun moyen d’éviter l’effondrement final d’un boom économique créé par l’expansion du crédit. Soit la crise arrive plus tôt car on aura volontairement abandonné l’idée d’une nouvelle expansion du crédit, soit elle se produit plus tard avec l’effondrement catastrophique et terminal du système monétaire en question ». L’économiste socialiste John Maynard Keynes, quant à lui, donna cette réponse à la question qu’on lui posa de savoir si son expansion du crédit à la Keynes pourrait perdurer sur le long terme : « sur le long terme, on est tous morts ». Tralala, je m’en fiche, ce ne sera pas mon problème.

Nous sommes en 2015 et John Maynard Keynes, homosexuel sans descendance, est mort depuis longtemps, mais nous nous sommes en vie et ce « sur le long terme» et bien, c’est maintenant. Et juste avant que le système bancaire n’implose, ces traitres qui nous gouvernent ont décidé que le temps était venu de renverser les tables, d’envoyer valser les cartes, les jetons et les billets, tandis que les lumières s’éteignent et que claquent les coups de pistolets. Ces hommes diaboliques qui tirent les ficelles dans l’ombre et qui parfois sont à l’origine de grandes catastrophes ont toujours su se préserver des conséquences les plus fâcheuses des plans qu’ils ont concoctés, savent se préserver de tout blâme, et s’arrangent même pour profiter des désastres qu’ils ont fomentés. On dit que le premier baron Rothschild se fendit de la phrase suivante, vers la date où eut lieu la bataille de Waterloo : « C’est quand le sang coule à flots dans les rues qu’il est temps d’acheter ».

Existe-t-il des preuves d’un effort concerté pour jeter délibérément l’Europe dans un chaos ensanglanté et la guerre civile ? Les ferries capables de transporter un millier de passagers coûtent des dizaines de milliers d’euros par jour en seuls frais de fonctionnement. Les envahisseurs musulmans, obéissant au hijra (c-à-d. au djihad par l’immigration) ne payent pas leur passage, qui est soit offert, soit subventionné, à bord des bateaux qui quittent les îles grecques situées à seulement quelques kilomètres des côtes turques, pour traverser la mer Égée et rejoindre la Grèce continentale. De là, des bus spécialement affrétés ou des trains spéciaux envoient les migrants d’une frontière à l’autre, jusqu’en Allemagne, en France et en Suède, sans que ces muhâjirûn, ou migrants du hijra aient un seul sou ou presque à débourser.

Qui paye les transports par ferries, trains et bus ? Qui finance les smartphones et les cartes de débit prépayées ? Qui distribue ces billets de cent euros que l’on peut voir dans les mains de presque tous les migrants, si vraiment comme ils disent ils arrivent sans rien d’autre que leurs hardes sur le dos après avoir fui une Syrie déchirée par la guerre ? Il y a quelqu’un qui finance l’invasion (hijra) musulmane de l’Europe. George Soros dépense des milliards par le truchement de sa « Open Society Foundation » dans le financement de centaines de fondations prônant l’ouverture des frontières, et c’est peut-être par là qu’un chercheur intrépide pourrait commencer son enquête.

5. L’Offensive du Têt, Vietnam, 1968

Alors que 2016 approche à grands pas, la situation actuelle présente selon moi des similitudes avec l’offensive du Têt, pendant la Guerre du Vietnam. En janvier de 1968, juste avant les célébrations du nouvel an lunaire, des milliers de combattants Viêt-congs s’infiltrent dans Saïgon et dans d’autres villes du Sud. Leur attaque coordonnée le 30 janvier prit les forces américaines pratiquement par surprise et constituera un des plus cuisants échecs des services de renseignements américains entre la Corée en 1950 et New-York en 2001. Les experts s’étaient tous mis d’accord pour dire que les combattants Viêt-congs étaient trop affaiblis et divisés pour lancer des attaques d’envergure à l’échelle du pays et pourtant plus de 80 000 irréguliers communistes infiltrés dans les villes frappèrent simultanément dans plus de cent villes du sud Vietnam. Les communistes se servèrent de la trève du nouvel an pour lancer leurs attaques, au moment où les forces américaines et l’armée sud-vietnamienne étaient en permission. Hue, la troisième ville du Vietnam est le théâtre de durs combats de guérilla qui dureront plus d’un mois. Avant que d’être vaincus, les communistes exécutent des milliers de civils prisonniers, jetant leurs cadavres dans des fosses communes, les mains entravées dans le dos par des fils de fer.

Au nord-Vietnam, les chefs communistes commettent une erreur d’appréciation : ils pensent que les assauts viêt-congs dans les villes du sud-Vietnam provoqueront un soulèvement général et spontané de la population contre les impérialistes américains et leurs pantins de la République du Vietnam. Le soulèvement général n’eut pas lieu et les Viêt-congs accusèrent de très lourdes pertes infligées grâce à la vaillance des troupes américaines et sud-vietnamiennes. La vie reprit son cours dans les villes du sud-Vietnam. À la suite de l’échec de l’offensive du Têt, les Viet-cong sont une armée épuisée qui ne retrouvera jamais sa puissance première. (Le sud-Vietnam tombera définitivement aux mains des troupes conventionnelles de l’armée du nord-Vietnam en 1975. Celle-ci lance l’assaut sur la partie sud du pays à l’aide de chars et de camions, alors qu’au Congrès américain les Démocrates décident de l’arrêt de la livraison d’équipement militaire et de carburant à nos alliés du sud-Vietnam, les mettant ainsi dans l’impossibilité de défendre leur république.)

Et pendant ce temps-là en Amérique, « Tonton Walter » Cronkite racontait à sa manière le récit de l’offensive du Têt qui devint l’histoire de la montée en puissance et en envergure des communistes, celle de l’échec des militaires américains, celle de l’inanité d’une cause qui voudrait empêcher les communistes de s’emparer de la République du Vietnam. Mais qu’est-ce qui poussait donc Cronkite à se conduire ainsi, à vouloir démoraliser et mentir à une Amérique en guerre? « l’ultime gouvernance mondiale ». Le cas de Walter Cronkite et la distorsion des faits entourant l’offensive du Têt n’est qu’un des exemples les plus frappants de la main-mise généralisée du socialisme internationaliste sur les médias grand-publics.

Aux yeux d’un nationaliste américain, Walter Cronkite est le traitre classique, mais pour un socialiste internationaliste pur et dur, les frontières et la souveraineté nationales ne sont pas plus importantes qu’elles ne le sont pour un musulman dévot. Pour ces deux idéologies supranationales, nations et frontières ne sont que des constructions anachroniques qu’il faut ignorer, fouler aux pieds pour finalement s’en débarrasser. Si Cronkite fut un traitre aux yeux des Américains, il est un héros pour les gauchistes culturels. Et Cronkite, comme toute cette race de gens sans honneur, garda sa véritable allégeance secrète jusqu’au moment où il pris sa retraite et cessa de propager ses mensonges et sa propagande sur les petits écrans. Je suis convaincu que de nos jours les grands médias mondiaux sont infestés de centaines de Walter Cronkites, à la fois devant et derrière les caméras.

6. Un nouveau Têt?

Ce qui nous ramène à la thèse principale que je m’efforce d’exposer ici : il me semble qu’en Europe se prépare une offensive similaire à celle du Têt en 1968 mais cette fois-ci à la sauce musulmane/djihadiste. Une trahison, vaste et concertée, a été mise en place à travers toute l’Europe depuis la création de l’Union Européenne. Suite aux accords de Schengen, Bruxelles est supposée protéger les frontières extérieures de l’Union Européenne, tout en abolissant les contrôles aux frontières intérieures. Les eurocrates ont enfreint la première de ces promesses mais ont gardé la seconde, ouvrant ainsi tout grand les portes au raz de marée de l’invasion musulmane (ou hijra).

En ce moment, environ un million de musulmans nouvellement arrivés sur le continent européen sont en train de chercher un endroit chaud où dormir, alors que l’Europe n’a aucunement les moyens de les héberger. Les trois quarts, au moins, de ces envahisseurs-migrants sont des musulmans en âge de se battre. Les Allemands blancs de souche, les Suédois de souche et d’autres peuples natifs d’Europe sont jetés à la rue par les autorités qui transforment leurs habitations en hébergements d’urgence pour ces « réfugiés » musulmans. Des dizaines de milliers de ces migrants vivent en ce moment dans des tentes, et dans des abris temporaires comme les gymnases des écoles et les entrepôts sous-utilisés.

Il sera absolument impossible de leur trouver ou de leur construire des logements permanents avant que n’arrivent les blizzards hivernaux d’Europe centrale. Dès que l’Allemagne et le reste de l’Europe se couvriront de neige, ces hommes forceront l’entrée des maisons des habitants, exigeant qu’on leur donne une chambre, sinon…Là où cela se révélera utile, les enfants en bas âge seront portés à bout de bras comme boucliers humains, pour exercer un chantage émotionnel sur les populations locales. Là où ils seront inutiles, ces enfants seront abandonnés. Quoiqu’il en soit, et d’une manière ou d’une autre ces migrants musulmans feront tout pour entrer dans les maisons et appartements des Allemands, à la recherche de chaleur et de nourriture, tandis que les hommes jeunes se serviront des femmes sans défense des kafir (Infidèles) pour assouvir leur concupiscence ainsi que l’autorise la loi islamique (charia).

Dans une Europe désarmée, n’importe quel groupe d’une douzaine de musulmans affamés, mécontents et souffrant du froid, armés de couteaux et de gourdins pourront forcer l’entrée de n’importe quelle habitation ou magasin. Plus grave, on sait maintenant que de très grandes quantités d’armes à feu sont introduites en contrebande en Europe par les muhâjirûn, tandis que les autorités européennes, rendues pusillanimes, n’osent pas fouiller les migrants ou leur bagage, de peur de déclencher des émeutes. Et ce n’est pas seulement dans les bagages des “réfugiés” que les armes sont passées en contrebande: la police italienne vient de saisir huit cents fusils à pompe dans un camion turc à destination de la Belgique. Combien de camions entiers bourrés d’armes et d’explosifs ont-ils passés les frontières sans être inquiétés ?

En Allemagne et avant même que tombent les premières neiges, on peut voir les migrants se rassembler en groupes qui attaquent et pillent en un éclair les boutiques et les magasins. Soucieuse d’éviter pour le moment des scènes d’émeutes, la police n’intervient qu’une fois les pilleurs partis. Pour l’instant, la tactique du gouvernement allemand consiste à dédommager les propriétaires des magasins pillés, mais cette mesure ne peut être que temporaire. Les magasins ferment et les Allemands, effrayés, se replient alors que les muhâjirûn se rendent compte qu’ils peuvent entrer dans les propriétés et s’emparer des biens des Allemands sans crainte d’aucune répercussion, ce qui les convainc d’autant plus de la passivité et de la docilité de leurs hôtes et du succès inévitable de leur invasion ( hijra ).

Alors que les attaques se feront de plus en plus nombreuses, la police allemande se mettra presque toujours aux ordres des politiciens de la classe des traitres car c’est eux qui payent leur salaire. Et ils ne se rendront pas au secours des Allemands de race blanche assiégés sur leurs propres terres, en tout cas pas en obéissant à des ordres officiels ou en portant l’uniforme. Ce mépris délibéré des élites socialistes internationalistes pour la sécurité et le bien-être des citoyens allemands ordinaires fera réagir les policiers et le personnel militaire qui se livreront alors hors de leurs heures de service à des actes d’auto-défense et finira par aboutir à l’émergence d’escadrons de la mort. Ils contreviendront ainsi à la directive « on ne touche pas aux musulmans », qui émane in fine de Bruxelles. Puis, quand un nombre suffisant d’armes à feu en provenance des stocks de l’armée, de la police et du marché noir se retrouveront aux mains des nationalistes européens ordinaires, ceux-ci organiseront la résistance armée.

L’accélération du rythme de l’invasion musulmane (hijra) en 2015 a été conçue, planifiée et exécutée par les traitres et collaborateurs qui composent l’élite dirigeante de la branche européenne des socialistes internationalistes, dont les quartiers généraux sont à Bruxelles. Et pour paraphraser le patriote britannique Paul Weston: si un fermier introduit délibérément un renard dans le poulailler, qui est responsable de la mort des poules? Et en ce moment, à travers toute l’Europe, le terrain est en train d’être préparé pour le génocide de nos poules européennes, lesquelles sont faibles, désorientées et sans défense. L’ancienne fonctionnaire de le RDA Angela Merkel est une véritable championne de l’ouverture des portes du poulailler au renard musulman et à la répression des poules allemandes. (et pendant ce temps, en Russie, l’ancien colonel du KGB Vladimir Poutine s’est transformé en chantre du nationalisme russe, mettant toujours en avant les intérêts de la nation russe, du moins tels que perçus par lui et ses acolytes.)

Quelques jours après les attentats de Paris, les forces d’intervention de la police nationale tireront plus de 5000 balles dans un territoire urbain pendant l’assaut donné dans un appartement situé dans un immeuble bondé. Je prédis que dans un an, si la police se rend dans cette rue, elle pourrait très bien se trouver confrontée à des tireurs embusqués, à des barricades de fortune, à des engins explosifs improvisés et même à des lance-roquettes. En bref, Paris, Bruxelles et bien d’autres villes européennes deviendraient le miroir du Beyrouth des années 80.

Pour comprendre ce qui attend l’Europe, demandez donc à un Libanais ce qui arrive quand une nation se retrouve avec des dizaines de milliers de « réfugiés » musulmans en colère sur son territoire. Et bien, c’est la guerre civile, voilà ce qui arrive, même si au départ ce ne sont que les différentes factions au sein des réfugiés qui se battent entre elles. C’est ce raccrocher à un bien mince espoir que d’espérer qu’une majorité silencieuse de musulmans pacifiques, dont l’existence problématique d’aucuns appellent de leurs vœux, puisse avoir assez d’influence sur les islamistes radicaux pour les détourner de la violence et ainsi désamorcer la guerre civile européenne qui se profile à l’horizon; de la même manière que des majorités silencieuses de musulmans pacifiques, qui n’étaient que vœux pieux, auraient pu prévenir les guerres civiles au Liban, en Bosnie, en Syrie ou une douzaine d’autres endroits. Les musulmans véritablement opposés à la violence auront autant d’impact sur le dénouement du conflit à venir qu’en eurent les Quakers cachés dans Berlin en 1944. La seule chose à laquelle servira cette soi-disant majorité silencieuse de musulmans pacifistes c’est à servir de paravent aux djihadistes qui se cacheront parmi eux.

Il est crucial de bien noter qu’aucune des guerres sus-mentionnés (Liban, Bosnie, Syrie) n’a été une guerre bipolaire entre deux états-nations : toutes ont eu au moins trois protagonistes. Ces configurations sont par nature instables et ont tendance à dégénérer en luttes violentes, car ces alliances de convenance sont mouvantes et les alliés d’hier deviennent vite l’ennemi de demain. Dans un tel contexte de faux-semblants, de subterfuges et de trahisons, les opérations sous faux pavillon destinées à semer la terreur deviennent la norme. Rien de plus facile pour un groupe donné A que de massacrer les membres du groupe B après avoir endossé l’uniforme et autres insignes facilement repérables du groupe C. Et rien de plus simple non plus pour le groupe C d’envoyer quelques tirs de mortiers sur la place du marché du groupe A à partir du territoire du groupe B. Le nettoyage ethnique, les opérations de représailles et les massacres à grande échelle prolifèrent comme des champignons dans un contexte de pillage généralisé, dans lequel toutes les règles de comportement normalement en valeur lors des guerres conventionnelles entre deux nations, opposant deux armées portant l’uniforme, n’ont plus cours.

Dès que le nombre de musulmans dans un pays non-islamique, comme la France, atteint le seuil d’approximativement 10% de la population (suite à des politiques extraordinairement et dangereusement naïves en matière migratoire), il vit dans la menace constante d’actes de violence et de guerre civile. Dix pour cent de la population totale d’un pays, cela se traduit par un pourcentage de plus de 50% d’hommes en âge de se battre dans les zones urbaines clés, un chiffre qui s’explique par la concentration des musulmans dans les zones de non-droit où ne s’applique plus la loi du pays, et par le vieillissement démographique des pays européens. Ces zones de non-droit serviront plus tard de sanctuaires et de bastions pour les djihadistes, à moins qu’elles ne soient finalement pulvérisées par des tirs d’artillerie ou des bombardements aériens. Ni l’Allemagne ni la France n’échapperont aux dures leçons qui furent données à Beyrouth, Sarajevo et Damas.

Les milliers de muhâjirûn qui sont en train de poser pied sur le continent européen ont été formés sur les théâtres de longues guerres civiles ethniques et religieuses particulièrement brutales. Les Européens d’aujourd’hui, victimes d’une politique délibérée d’endoctrinement qui leur a fait avaler les sornettes politiquement correctes des avantages du multi-culturalisme, n’ont absolument pas la moindre idée des horreurs qui les attendent. Le malaise grandissant des Européens n’y changera rien. Les musulmans ne quitteront jamais l’Europe de leur plein gré, juste parce que leur présence (celles des nouveaux immigrants et celles de ceux nés sur le territoire) irrite de plus en plus les autochtones. Pas plus que les envahisseurs musulmans qui se font passer pour des immigrants ne deviendront doux comme des agneaux et se feront oublier.

7. Une vingtaine de Beslans et de Bombays

Le noyau dur des djihadistes aguerris par le temps qu’ils ont passé dans d’autres pays en guerre, et qui est en ce moment-même en train de se déployer à travers le continent européen tout entier, est au fait des moyens éprouvés qui permettent de déclencher une guerre civile grâce à l’utilisation de la terreur. Ils calculeront que les forces militaires et policières seront dans l’impossibilité de soutenir sur le long terme une contre-offensive contre une campagne de terror sans fin.

Bruxelles ne peut rester en niveau d’alerte terroriste maximale in vitam æternam sans que son économie n’en pâtisse. Que se passera-t-il quand des attaques terroristes du style de celle qui vient d’être perpétrée à Paris, ou pire encore, adviendront journellement dans une douzaine de villes d’Europe ?

Comme je l’ai déjà mentionné plus haut un camion en provenance de Turquie et à destination de la Belgique a été stoppé à la frontière nord de l’Italie fin novembre avec à son bord un chargement de huit cents fusils à pompe de type fusil d’assaut. Faites le calcul. Les attentats de Paris ont été perpétrés par approximativement huit djihadistes armés de Kalashnikovs, de fusils de chasse et de gilets d’explosif TATP que l’on peut fabriquer soi-même dans sa cuisine. Maintenant imaginons une nouvelle Offensive du Têt à très grande échelle, avec un éventail de cibles extrêmement variées qui iraient des aéroports aux parcs zoologiques, chaque attaque étant perpétrée par une équipe de huit hommes. Certaines attaques seraient de moindre ampleur, d’autres de plus grande envergure avec des équipes d’hommes allant de deux à une section entière.

En ce moment et peut-être à seulement quelques mois d’un Têt 2016, il n’existe pas en Europe ou ailleurs de haut commandement islamique chargé de planifier des attaques terroristes spécifiques. Il n’y a pas d’OKW (Oberkommando der Wehrmacht, le haut commandement des forces armées allemandes durant la seconde guerre mondiale) en train d’organiser une Opération Barbarossa islamique, et donc il n’existe pas de haut commandement ou d’État-major islamique que les services de renseignement occidentaux puissent infiltrer et désorganiser.

À la place d’un cerveau central donnant des ordres à de nombreux individus, imaginez plutôt un vaste banc de méduses urticantes, flottant toutes en formation relâchée et toutes ayant dans leur intelligence collective les grandes lignes d’un même plan d’attaque. Alors que s’achève l’année 2015, les muhâjirûn n’ont peut-être qu’une notion encore assez mal définie de la mission qui est la leur en se rendant en Europe : un grand djihad. Plus le jour J approche et plus les messages codés contenant des références cryptiques à des événements symboliques de l’histoire de l’islam vont proliférer. « Tenez-vous prêts et préparez-vous à mener des opérations d’envergure », voilà ce que diront en substance les communications du web et les messages cryptés envoyés par réseaux sans fil. Et dans chaque ville européenne, les Muhâjirûn iront repérer chaque cible individuelle dans l’attente du moment où le signal sera donné de commencer les attaques terroristes du djihad.

Combien de mosquées ont-elles déjà reçu des chargements entiers de fusils à pompe ou de Kalashnikovs? Regardons une nouvelle fois les chiffres : huit djihadistes par attentat terroriste, huit cents armes à feu par camion, 80 000 combattants Viet-cong lors de l’Offensive du Têt et un nombre de Muhâjirûn en train de se déverser sur le continent européen estimé à environ 800 000. L’utilisation de mosquées radicales pour y entreposer des caches d’armes est la procédure standard au Moyen-Orient, et il n’y a aucune raison pour que les djihadistes n’utilisent pas les mêmes tactiques dans une Europe docile et où ils sont en sécurité. Ce n’est pas comme s’ils respectaient les lois en vigueur en Europe ou comme s’ils voulaient jouer fair-play, ne soyons pas candides ! Et ainsi que l’a déclaré le premier ministre turc Erdogan : « les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les fidèles nos soldats… » Gardons aussi à l’esprit que si l’on peut faire passer la frontière en douce à un AK-47, ça vaut aussi pour quelques kilos de Semtex.

Imaginez une douzaine ou même une vingtaine d’attentats et d’attaques terroristes du style de Beslan (Russie) ou de Bombay, qui se passeraient toutes au même moment dans autant de villes européennes. Dans un premier temps la première série d’attentats, qui prendront les autorités par surprise, sera coordonnée par des réseaux terroristes extrêmement bien organisés utilisant des méthodes de cryptage par communication wifi qui sont actuellement impossibles à décrypter. Beaucoup de ces attaques comprendront des prises d’otages, souvent avec des enfants, et les autorités se trouveront à devoir faire face à exigences impossibles à satisfaire pour garantir la sécurité de ces mêmes otages. Ou alors, les terroristes ne demanderont rien, et comme à Beslan, les viols et massacres commenceront. Ces premiers attentats à grande échelle seront alors le signal du début d’un offensive généralisée du djihad.

En Russie, en 2004, un groupe de tueurs islamistes tchétchènes est responsable du massacre de Beslan. Les séparatistes arrivent en deux groupes séparés le premier jour de l’année scolaire dans l’école de Beslan. Ils conduisent de fausses camionnettes de police pour passer inaperçus et prennent en otage plus d’un milliers de jeunes enfants, parents et professeurs. Le siège dure trois jours, pendant lesquels les terroristes violent, torturent et assassinent, exécutant souvent leurs victimes après les viols et les tortures. Plus de 400 innocents perdront la vie.

En 2008, à Bombay, dix terroristes musulmans pakistanais armés de kalashnikovs et de grenades semèrent un chaos indescriptible pendant quatre jours, attaquant une gare ferroviaire, des hôtels de prestige, un centre communautaire juif et un hôpital (cette dernière attaque échouant). Le bilan sera de 164 morts et 300 blessés. Des attaques de type de celles de Beslan, de Bombay et de Paris, accompagnées d’attentats à la voiture piégée serviront de modèles à l’offensive djihadiste de 2016 en Europe.

Ce qu’Hitler et les Nazis accomplirent avec leurs Stukas et leurs Tigers et leurs divisions motorisés, les islamonazis sont en train d’essayer de le faire grâce à une offensive du Têt puissance 10, submergeant et étourdissant le métasystème européen jusqu’à ce que celui-ci soit paralysé et finisse par perdre la guerre psychologique puis matérielle. C’est du moins l’objectif que se donnent les islamonazis. En 1968, au Vietnam, la stratégie d’infiltration couplée à des attaques sur une large échelle n’a pas porté ses fruits, et peut-être en sera-t-il de même en Europe. Il est plus probable que le soulèvement général de tous les musulmans résidant en Europe contre les kouffar, qui est ce qu’espèrent les instigateurs de ces attentats, n’aura pas lieu, ou fera long feu.

En termes stratégiques, l’offensive djihadiste de 2016 et la subséquente guerre civile en Europe ouvriront un second grand front de la guerre contre l’État Islamique, obligeant l’OTAN et l’Occident à se recentrer et à tourner leur attention vers leur propre survie, ce qui allégera en retour la pression exercée sur les théâtres des conflits en Irak et en Syrie.

Et pour que les Européens gagnent cette future guerre civile, il leur faudra faire montre d’une sauvagerie et d’une brutalité approchant celles des envahisseurs musulmans, ce qui veut dire qu’il faudra qu’ils soient d’une très grande férocité. Les djihadistes ouvriront les hostilités avec le maximum de sauvagerie, tandis que autorités européennes, habituées à être placides et polies auront une guerre de retard. Une tactique typique des djihadistes après avoir perpétré un attentat est par exemple de courir se réfugier dans les bras de leurs co-religionnaires dans les zones dites « sensibles » où ils font régner la charia, et de se cacher derrière leurs femmes et enfants. Que choisiront alors de faire les autorités ? Y aller pour essayer de les arrêter (je plaisante !) ? Attendre qu’ils quittent leur cachette avec l’intention de commettre de nouveaux attentats à la bombe? Ou raser les bâtiments suspects avec des tirs d’obus ? Voilà ce que je veux dire lorsque je parle d’une grande férocité. La réaction qu’ont eue les Français après les attentats de Paris nous donne une idée de ce à quoi on peut s’attendre.

Dans le meilleur des cas (et je n’y crois pas tellement) les terroristes impliqués dans ce Têt islamique seront exterminés comme l’ont été les Viet-cong en 1968. Mais, si le nombre des attaques simultanées est très élevé, avec un nombre de combattants comparable aux 80 000 soldats vietnamiens qui prirent part à l’offensive du Têt, je vois mal comment les forces européennes pourraient vaincre les djihadistes en moins d’un mois, s’ils y arrivent. Et 80 000 djihadistes, cela se traduit par dix mille attentats comparables à ceux de Paris. Réfléchissez-y. Dix mille attaques comparables aux attentats qui viennent d’avoir lieu à Paris ! Et tous perpétrés le même mois, la même semaine, peut-être même le même jour, à travers toute l’Europe. Les policiers européens (et même au départ les militaires), trop polis et trop politiquement-corrects ne seront pas à même de monter une contre-offensive et des opérations de sauvetage efficaces contre une vingtaine de Beslans dans des écoles, des hôpitaux et des salles de concert. Pas si en même temps d’autres commandos terroristes de la taille de ceux des attentats de Paris attaquent des aéroports, des gares ferroviaires, des centrales électriques et autres cibles sensibles.

Et s’il y a une chose dont on peut être sûr, car c’est une tactique de base utilisée par tous les islamonazis dans ce type de guerre où tous les coups sont permis: tout comme à Beslan où les tueurs arrivèrent dans de fausses camionnettes de police, en 2016 les terroristes utiliseront des ambulances, des véhicules des services de secours ou tout autres véhicules officiels dont ils se seront emparés, ou utiliseront des véhicules qu’ils auront déguisés afin de les faire passer pour vrais. Des bombes humaines se présenteront vêtus d’uniformes officiels pour passer sans encombre à travers les cordons de sécurité. Permettez-moi d’insister encore sur ce point : c’est une tactique classique. Un djihadiste portant un uniforme de policier conduira une voiture de police officielle contenant une bombe de cent kilos jusqu’au cœur d’un commissariat, et alors là, vous pourrez dire au revoir à votre commissariat. (Et soit dit en passant, essayez donc de mettre sur pied une opération de sauvetage si votre ville est victime d’une attaque du style de celle de Beslan, après que le commissariat central ait été réduit à l’état de cratère et que la majeure partie de l’équipe spécialisée dans les situations de crise ait été exterminée.)

Et voici encore d’autres exemples parmi des kyrielles d’autres: la camionnette de livraison du lait ou du pain aura une cargaison de terroristes qu’elle déposera au collège à l’heure du repas. L’ambulance qui roule dans le parking souterrain de l’hôpital y détonne une bombe. Le camion malaxeur en provenance de la cimenterie ne sera pas chargé de béton. Les djihadistes sont très fiers de leur inventivité à duper ces idiots d’infidèles qui font tant confiance aux uniformes officiels et aux logos des sociétés. Les djihadistes se pressent à l’école du conducteur de véhicule piégé, rien qu’à l’idée de faire exploser une énorme bombe au milieu d’une foule de sale kouffar, accédant par là-même au paradis d’Allah, où les attendent leurs 72 vierges. Voilà à quel genre de guerre il faut s’attendre en 2016. Oubliez la leçon du Têt à vos risques et périls.

Trop de monde a oublié ce douloureux épisode de l’histoire européenne que sont les « Troubles » en Irlande du nord. Dans les années 1990, l’IRA a forcé les Britanniques à s’asseoir à la table des négociations après qu’il fut devenu clair pour tous les protagonistes que les Anglais n’avaient pas les moyens d’empêcher les explosions de voitures piégées au cœur de la City, ce qui leur coûtaient des milliards en frais de reconstruction et en occasions perdues après chacun des attentats. Une organisation terroriste compétente peut donc tenir en otage une ville moderne grâce à l’utilisation de ces tactiques.

Il n’a pas fallu plus de quelques douzaines ou tout au plus d’une centaine de combattants actifs de l’Armée Républicaine Irlandaise pour réaliser cet exploit. Et leur but n’était même pas de tuer des gens ! Ils essayaient plutôt de détruire d’importants immeubles de bureau afin de porter des coups à l’économie britannique. L’IRA faisait habituellement exploser leurs voitures piégées durant les heures où il y avait peu de monde, à l’époque de leurs dernières actions terroristes pendant les « Troubles » irlandais.

Les poseurs de bombes musulmans ne se montreront pas aussi prévenants dans cette guerre civile européenne qui se profile à l’horizon. Leur objectif sera de massacrer le plus possible de civils, pour que, terrifiés, les dirigeants européens cèdent inconditionnellement à leur exigences.

8. Règles de combat lors des affrontements de Hama

Voici mes prédictions en ce qui concerne le futur proche: après une phase initiale similaire à l’offensive du Têt, décrite plus haut, la Guerre Civile Européenne sera faite d’une succession d’attentats commis par des terroristes sanglés de ceintures d’explosifs et/ou armés de fusils d’assaut, dans le style de celui de Paris, attentats dont la fréquence et l’ampleur ne feront qu’empirer avec le temps jusqu’à ce que l’on se trouve face à des tireurs embusqués, à des engins explosifs improvisés, puis à des voitures et camions piégés.

C’est donc pourquoi j’ai mentionné plus haut la possibilité de raser les zones de non-droit où règne la charia en utilisant les bombardements à l’artillerie lourde et les bombardements aériens. Et c’est ce qui se passera, après que les premiers attentats à la voiture piégée aient frappé les villes européennes. Et c’est à ce moment-là que cette guerre civile au cœur des villes perdra tout semblant des normes en vigueur entre peuples civilisés. Les bastions fortifiés qui offrent l’asile aux djihadistes devront impérativement être détruits si l’on espère pouvoir arrêter la conquête musulmane de l’Europe.

Ce type de conflict armé où l’on ne fait pas de quartier porte déjà un nom : « Les Règles d’engagement de Hama », du nom de cette ville de Syrie qui fut partiellement détruite en 1982. La ville de Hama était un fief des Frères musulmans, qui s’en servaient comme base pour lancer des attaques contre le régime de Hafez-el-Assad, le père de l’actuel chef du gouvernement syrien. Ces attaques de guerrilla (ou terroristes si vous préférez) commencèrent en 1976 et ne prirent fin que lorsque Hama ne fut plus qu’un tas de ruines et que plus de dix mille Syriens sunnites aient été exécutés au milieu des décombres.

Si les Européens n’ont pas le courage de se battre avec le même niveau de férocité que leurs ennemis, alors ils perdront la guerre et seront forcés soit de se convertir à l’islam, soit d’accepter le statut inférieur de dhimmi, ou alors ils seront massacrés (s’ils ne sont pas d’abord réduits en esclavage et soumis au travail obligatoire). C’est le sort qui fut de tout temps réservé aux ennemis mâles défaits par les conquérants musulmans. Les femmes et jeunes filles des kouffar vaincus seront bien évidemment réduites et gardées en esclavage. Ce sera un combat à mort, sans pitié, sans merci, dans laquelle il n’y aura pas de quartier.

En ce début d’année 2016, une résolution pacifique du conflit est bien improbable, et certainement pas avec près d’un million de muhâjirûn en âge de se battre, récemment arrivés sur tout le territoire européen et qui se retrouvent en plein hiver sans logement ni perspectives d’avenir. Cet afflux massif en un temps très court de centaines de milliers d’hommes sans attaches familiales et de confession musulmane sur tout le territoire européen est l’équivalent de verser une bonne rasade de nitroglycérine dans la gueule d’un canon, puis d’y introduire une double dose de poudre, d’y introduire trois ou quatre boulets et d’allumer la mèche. C’est la recette idéale pour se retrouver avec une explosion aux conséquences désastreuses.

L’Offensive du Têt de 1968 voit environ 80 000 troupes Viet-Cong infiltrées au sud-Vietnam se faufiler dans les villes et capitales provinciales (sans que les « experts » des services de renseignements remarquent quoique ce soit, soit dit en passant). Et combien seront-ils, parmi ce million ou presque de muhâjirûn en présence sur le sol européen à prendre les armes pour la cause djihadiste, après la première vague d’attentats terroristes copiés sur l’Offensive du Têt? Quelqu’un en a-t-il la moindre idée? Il y a un moment de transition où l’on passe du hijra furtif au djihad qui se montre au grand jour et je crois que cette transition se fera en 2016. Les historiens du futur ne pourront que regarder avec étonnement ce djihad en terre d’Europe, qui aura pris l’habit d’une seconde Offensive du Têt. Ou peut-être lui donneront-ils le nom de Cheval de Troie de la Guerre Civile Européenne. J’espère simplement qu’ils ne la nommeront pas l’Ultime Conquête Islamique de l’Europe.

Les historiens étudieront les causes de cette invasion de masse (hijra), et de la seconde Offensive du Têt et de la guerre civile européenne qui en découlèrent. La vérité c’est que l’ennemi était dans la place, et cet ennemi c’était la classe traitresse des gauchistes culturels acquis au sans-frontiérisme. Ces socialistes internationalistes endormirent leurs compatriotes, émoussèrent leur instinct de survie jusqu’à ce que la grande majorité ne soit plus qu’une masse apathique, puis ils ouvrirent tout grand les portes aux barbares islamistes. Ils injectèrent le poison du multi-culturalisme dans leurs propres sociétés, les paralysant et les rendant ainsi incapables de se défendre contre les attaques prévues.

En réalité, les socialistes internationalistes et les islamistes ont conclu un pacte visant à éliminer leur ennemi commun, les nationalistes, afin que cette menace soit éradiquée à jamais. En 2016, les nations européennes seront délibérément mises à feu et à sang dans le but d’éliminer ce qui peut encore leur rester d’identité culturelle et d’orgueil national. Dans la pratique, la confrontation à venir consistera dans le choix du menu que devront faire un chacal, une hyène et un petit agneau bien sot, que l’on a élévé dès sa naissance au lait du multi-culturalisme béat et qui croit dur comme fer au pays des « bisounours ». L’agneau est persuadé que, suivant son bon exemple, le chacal et la hyène deviendront végétariens. Hélas, le choix de l’entrée a été décidé depuis bien longtemps: les nationalistes européens se feront abattre et poignarder dans le dos jusqu’à ce qu’ils succombent et que leurs destructeurs ne les dévorent jusqu’au dernier.

Et de ceci vous pouvez être sûrs: debout devant le bâtiment encore fumant, les pieds au bord du cratère et après la dixième explosion de voiture piégée du mois, un journaliste télégénique, faisant partie de la classe des traitres, écorchera la vérité et présentera les faits de telle façon que seule l’inexorable avancée du socialisme internationaliste pourrait mettre fin au «cycle tragique de la violence ». Une presse mensongère traitera les patriotes de nazis et les nazis de patriotes; elle clouera les saints au pilori et chantera les louanges des meurtriers de masse. Ces « journalopes » sont des vendus qui ne sont loyaux qu’envers ceux qui les paient (la classe des traitres) et à leur vision socialiste d’une gouvernance mondiale imposée par le haut par des élites omniscientes. « Du chaos naît l’ordre » est le mot d’ordre qui sera présent à leur esprit, si ce n’est sur leurs lèvres.

9. Fin de Partie

Si les élites traitresses s’essayent un peu à la futurologie, elles ne peuvent manquer de voir le socialisme internationaliste s’apprêtant ensuite à entrer dans l’arêne pour un combat paroxystique avec l’islam, combat mené sur le cadavre pantelant du nationalisme européen. Ces traitres du socialisme sans-frontiériste seront-ils à même de tenir la ligne face à l’idéologie suprémaciste des islamistes et leur potentielle ultime victoire ? Comparons donc leurs atouts et les armes dont chacun dispose.

Les élites traitresses contrôlent de vastes ressources financières ainsi que de nombreux leviers du pouvoir. Cependant, l’attrait exercé par les vastes fortunes et par les promotions accélérées dans la vie professionnelle peut-il se révéler plus fort que la peur de l’assassin, du kidnappeur, du trancheur de tête musulman? Quelles motivations finiront-elles par avoir le dessus : les pots-de-vin offerts ou une enfant kidnappée et menacée de décapitation? Le socialisme internationaliste sans-frontiériste et l’islamisme mondial sont deux idéologies totalitaires pernicieuses dont l’origine naît dans la quête du pouvoir absolu. Cependant, je pense qu’un plus grand nombre de socialistes se convertiront à l’islam que le contraire, ce qui fera pencher la balance du côté du totalitarisme islamique. Pour quelle raison? Parce qu’on peut vivre en ayant refusé une valise remplies d’euros, ou en ayant décliné l’offre d’un emploi bien rémunéré comme paiement de services rendus ou à rendre, mais on ne peut pas vivre si on vous a tranché la tête.

Une autre arme dans l’attirail de la conquête islamique, arme utilisée depuis toujours mais dont on discute peu, est celle de l’amnistie offerte à ceux des infidèles bien placés aux manettes de l’économie et du pouvoir etc… et qui acceptent de se convertir à la religion des Mahométans. Puis-je imaginer Angela Merkel en hijab ? Absolument. Que le badge qu’elle arbore au revers de sa veste soit rouge ou noir importe peu à l’ancienne communiste, du moins pas tant qu’il s’agit de sauver sa peau tout en maintenant son statut. L’étude des conquêtes islamiques nous montre que nombre de dirigeants occidentaux, après avoir subrepticement ouvert les portes à l’invasion islamique, s’étaient auparavant secrètement convertis à l’islam.

Et comme récompense pour cet inappréciable service, ces renégats bien placés sont souvent autorisés à conserver leur fortune et leur position à condition qu’ils prennent des noms musulmans et qu’ils fassent acte d’allégeance à leurs nouveaux maîtres islamiques. Ce n’est pas un hasard s’il est si facile de se convertir à l’islam. La prière de conversion à l’islam ou shahada n’est qu’une simple phrase, toute courte. Il n’est pas nécessaire d’y porter une foi sincère en son cœur, il faut juste faire sa soumission de vive voix et en public, ce qui est le sens (souvent obscurci) du mot arabe Islam : Soumission

Venu le temps du dernier carré et venu le temps des têtes tranchées, verra-t-on les socialistes internationalistes laïques et humanistes, se battre jusqu’à leur dernier souffle contre l’islamisme? C’est peu probable, quand répéter une petite phrase banale et sotte au sujet d’Allah et de Mahomet a le pouvoir de sauver leur vie traitresse et sans honneur. En un mot, il se soumettront.

Je pense qu’en fin de compte, c’est le Coran maléfique et satanique de Mahomet et son plan détaillé pour une conquête de la terre entière qui se révélera être encore plus virulent et persistant que le plan détaillé, malfaisant et satanique des socialistes internationalistes, qui remonte aux Jacobins, aux marxistes et aux communistes.

Vieux de quatorze siècles, le dessein ultime de l’idéologie coranique, celui d’une domination mondiale, demeure inchangé, tout en ne cessant de se reproduire et de s’étendre, tandis que les plans du socialisme internationaliste ne sont vieux que de deux siècles et demi. Si l’on se base sur la seule longévité, les chances penchent du côté de la formule islamique pour la conquête de la planète et l’établissement d’une tyrannie mondiale.

Et dans l’hypothèse où l’islam élimine le socialisme internationaliste ou qu’il en prenne le contrôle, on peut raisonnablement s’attendre à ce que la lutte continue jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que des sunnites ou des chiites. Nous verrions ensuite de nouveaux schismes se former au sein de l’islam et des conflits naîtront entre de nouvelles sectes qui se battont pour obtenir l’hégémonie, car l’incitation à la violence fait partie intrinsèque des textes coraniques. Cependant, sans hôte extérieur à parasiter, il est plus que probable que le chancre islamique, (ayant tué et dévoré la poule aux œufs d’or qu’est la société occidentale et tout ce qu’elle produit) se putréfie et se décompose. Quant à ce qui pourrait succéder à un califat mondial qui aurait échoué, dieu seul le sait. Tout ce qu’on peut dire, c’est qu’à ce moment-là les derniers chrétiens croyants et pratiquants d’Europe ne seront plus que des cadavres glacés gisant dans des charniers anonymes.

10. Autres Dénouements Possibles

Mais il est toujours possible que l’affrontement entre les trois forces en présence se passe différemment. Peut-être qu’une fois cette nouvelle Offensive du Têt islamique de 2016 mise en déroute, assisterons-nous à un renouveau miraculeux du nationalisme européen, après que les peuples aient rejeté ce socialisme sans-frontiériste qui les a menés au bord de l’abime. Il arrive aussi que les forces d’invasion fassent de grossières erreurs d’appréciation et sous-estiment la détermination de leurs ennemis et qu’après une campagne éclair d’envergure ils essuient de cuisantes défaites qui les ramènent à leur point de départ. Ainsi Napoléon et Hitler lorsqu’ils essayèrent d’envahir la Russie et les Grecs lors de la guerre gréco-turque de 1919-1922 en Anatolie.

Ou alors les islamistes pousseront le bouchon un peu trop loin et l’explosion d’une arme nucléaire ou tout autre arme de destruction massive dans une ville d’Europe provoquera une contre-attaque proportionnelle contre le cœur vital de l’islam, c’est-à-dire La Mecque, et contre d’autres de leurs lieux saints comme Karbala en Iran. On peut évidemment s’attendre à ce que Vladimir Poutine fasse montre d’une plus grande fermeté et d’une plus grande détermination que le ramassis actuel des dirigeants de l’Europe occidentale, dévirilisés et pusillanimes.

Deux des cinq piliers de l’islam se rapportent à la pierre noire située dans un angle de la Kaaba à La Mecque. Après 1400 ans sans le moindre changement, l’islam ne peut simplement effacer deux de ses cinq piliers et continuer comme si de rien n’était. Allahu Akbar signifie “notre dieu est le plus grand”. Si La Mecque n’était plus qu’un vaste cratère rougeoyant, cette assertion serait de toute évidence erronée. Quand la classe sacerdotale des Aztèques et des Incas fut renversée par les conquistadors espagnols, leur religion et leur sociétés s’effondrèrent. Dans l’hypothèse où La Mecque serait détruite, ce qui éliminerait ainsi deux des cinq piliers de l’islam, il est difficile de prédire ce qui arriverait à la communauté musulmane mondiale. « Nous pensions que notre dieu était le plus grand » n’a pas la même puissance de ralliement. Mais j’imagine que je ne serai plus de ce monde pour voir comment se dérouleront les choses. Depuis 1400 ans des millions et des millions de chrétiens et autres Infidèles sont passés de vie à trépas sans savoir si l’islam finirait vaincu ou vainqueur.

Je ne suis pas sûr que les états-nations souverains, tels qu’ils ont été constitués au cours des quatre derniers siècles aient encore un avenir devant eux, spécialement les nations qui jouissent d’une histoire, d’une culture et d’une langue qui leur sont propres. J’ignore si la fortune et l’influence que possèdent les élites socialistes internationalistes peuvent triompher de la menace constante d’attentats terroristes inhérent à l’objectif de conquête planétaire du Coran. Et quant aux conséquences pour l’Asie et la Chine de cet orage qui s’apprête à submerger l’Europe, bien malin qui pourra les prédire avec clarté. Il est difficile d’imaginer qu’un conflit mondial qui s’étendrait de la Scandinavie au Golfe Persique ne se transforme à un moment ou à un autre en guerre nucléaire. Peut-être les Chinois, peuple patient et prudent, hériteront-ils des ruines de l’Occident. Ou peut-être seront-ils entraînés dans ce conflit mondial.

Quoique qu’il arrive dans les dix années à venir, 2016 sera sans doute une longue année pour l’histoire européenne et mondiale. J’espère que ce qui arrivera de l’autre côté de l’Atlantique sera au moins pour nous, Américains, une précieuse leçon pour la défense d’une Amérique libre et souveraine. Y compris l’extrême danger qu’il y a à importer des millions de muhâjirûn islamiques.

Et je voudrais enfin remercier les Pères Fondateurs pour les Premier et Second Amendements de la Constitution des États-Unis d’Amérique. Contrairement aux Européens, nous sommes encore libres de nous avertir les uns les autres des dangers qui nous menacent sans que nous soyons baillonnés par les élites traitresses qui tiennent les leviers du pouvoir. Et grâce au Second Amendement nous ne serons jamais mis à bas par les hyènes islamistes ou les chacals socialistes comme de pauvres agneaux sans défense. Lorsque les socialistes ouvriront la porte du poulailler à un renard affamé de trop, il se pourrait bien que les renards et les traitres se prennent tous une volée de chevrotines en pleine figure.

Et surtout n’oubliez jamais ceci: ne laissez jamais personne vous prendre vos fusils.

Vous allez en avoir besoin.

1.   Titre que l’on peut traduire par : « Ennemis intérieurs et extérieurs »
2.   en anglais: Cultural Marxism
3.   Fabian Society
4.   Affaires Étrangères
5.   en russe dans le texte
6.   en anglais: Social Justice Warriors
 

Matthew Bracken est né à Baltimore, dans le Maryland, in 1957. Il fait ses études à l’Université de Virginie et est titulaire d’une licence en Études Russes. Il est nommé sous-officier dans la marine en 1979 et termine la même année sa formation de commando de marine (Basic Underwater Demolition) dans les Forces spéciales des nageurs de combat (SEAL). En 1983, il commande un détachement du « Naval Special Warfare » à Beyrouth. Il a depuis travaillé comme soudeur, constructeur de bateaux, capitaine de charters, marin, essayiste et romancier. Il vit en Floride. Les liens vers ses nouvelles et ses essais se trouvent sur le site internet EnemiesForeignAndDomestic.com.

18 thoughts on “L’offensive islamique en Europe: un Têt numéro 2?

  1. My French is very weak, but this needs to be published inside France and next door in Belgium. I don’t know France’s civil code regarding their military deployment inside the country…maybe a needed declaration of war against Islam? This is too big for the police and the civilian population is no match.

    • The French military has been patrolling key sites like airports and mainline stations for a long time, in fact when I arrived in France in 1999 I was surprised to see it.

      Its the scope of the current deployment which is interesting, they are currently applying changes to their laws to reduce to a degree the strait jacket they have on the use of weapons by the police. Not long ago the army shot and badly injured a man who tried to run them over near a mosque, they have not been charged, so that’s a start.

      And the law to strip nationality is still being debated.

      Problem is, that just like Germany their media is muzzled, about a week ago on BFM TV there was a Terrorism expert who’s first named was Mohamed, who near the end of the debate went off on saying that the French government has to address the issue of the link with political Islam, the look of horror on the presenters face and her desperate changing of the subject was amusing to see.

      I do not expect to see that man ever again on TV, he was one of those exceptionally brave ex-Muslims that I admire so much.

      • I saw soldiers armed with automatic weapons patrolling a railway station in Switzerland back in 2010. Zurich, I think it was, but I can’t remember if there was a specific terrorist threat at the time.

        • I did a contracting job in Zurich from 2003 to 2009 and I am pretty sure that I saw soldiers there too. Sounds like you took the train from the airport to the city centre, excellent train service that.

    • I’m a rare commenter here, but to answer your question, I watched a small French Army squad pass under the Eiffel Tower when we visited Paris in September, 2014.
      By the way, the patrol members had no magazines in their rifles. They were wearing packs, so one hopes they actually were armed and not just playing pretend like the bulletless national guard posted in American airports (or at least, in the Portland OR airport) briefly after 9/11.

    • oh my. All the times we were hunting for French translations and there sat H. Numan in plain sight. So…umm…what else is hidden in that clever brain? I remember telling the B once that you were amazing – but to know that we’d have to ask and hope you were in the mood or had the time to answer…like snippets of your job in the old country. At least the ones you can mention…definitely a man of mystery with that caustic Dutch wit.

  2. Thank you very much to my friends and allies who made this translation a reality.
    I hope that it makes an impact where it is most needed, in France and all of Europe.

  3. Very astute and horrific. Witness the porcine Cameron wittering on about the good deal he has secured for the UK ( which has the hand of Merkel all over it) Unfortunately most of the UK would appear to be more interested in the X Factor or Strictly than the future of their nation. However once, even at the eleventh hour, Saxon blood be stirred, the tables can be turned.

    • I hope you are right. But it looks like the tables will need to be turned on the government first.

  4. Nous sommes en 2015 et John Maynard Keynes, homosexuel sans descendance, est mort depuis longtemps, mais nous nous sommes en vie et ce « sur le long terme» et bien, c’est maintenant.

    J’entend ton coeur.

    (No improvement in different language.)

  5. Est ce que possisble en avoir cette assai en Englais, si vous plais? Ma Francais est le meme de petit enfants Francais.

  6. As per my previous about things creeping towards not so pc articles appearing in the press, a big fuss was caused lately in France, following the publication of a survey done by the Fondation du judaïsme français.

    Link in French: http://www.lejdd.fr/Societe/Religion/Sondage-Juifs-musulmans-de-France-la-grande-mefiance-770609

    also this graphic info:

    http://cdn-lejdd.ladmedia.fr/var/lejdd/storage/images/media/images/sondageipsos/12378215-1-fre-FR/sondageIpsos.jpg

    54% que “l’immigration n’est pas une source d’enrichissement”
    54% stated that immigration is not a source of enrichment”.

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